Cette dernière est alors directement récoltée au pied du buisson par les Himbas, unique tribu habilitée à exploiter la matière. A ce jour, il n’existe donc aucune forme de culture du bushman candle et les rendements se limitent à
ce que la nature nous offre.
Fraîchement récolté, le bushman candle ne se laisse pas amadouer si facilement,
et rien ne laisse encore présager de ses formidables propriétés.
Ni son aspect d’écorce calcinée, ni sa fragrance quasi inexistante.
Mais il suffit de le brûler pour que la magie opère.
Non seulement il s’avère être une extraordinaire torche naturelle,
mais il dégage alors un arôme doux et rond, vanillé et benjoin,
qui embaume délicatement l’air.
Une cire de caractère donc qui aurait même des vertus régénératrices.
Helene a décidément bon goût ! Et Murielle aussi, forcément… :p Stéphane Piquart, on est nombreux à l’avoir découvert il y a quelque temps déjà, avec ses docu. sur ses promenades olfactives dans le monde. Mais les descriptions données ici suscitent vraiment l’envie d’aller plus loin que le personnage. Et puis, l’éco-responsabilité, c’est un argument imparable… Bon, je vais devoir évacuer les oursins que j’avais mis par précaution dans mon porte-monnaie xD Merci Mumu ? :p
Merci pour ton commentaire 🙂